Témoignages

Des rapports commerciaux exemplaires

"Je tiens tout d'abord à adresser mes chaleureuses félicitations à la Direction Générale et à l'ensemble du personnel de la SOTULUB à l'occasion de son 40 ème anniversaire.

Nous entretenons avec cette entreprise pionnière en matière de protection de l'environnement en Tunisie et au savoir-faire avéré dans la régénération des huiles usagées et la fabrication de graisses lubrifiantes des relations privilégiées.

Je dois à la vérité de dire que nous apprécions énormément la prompte intervention de la SOTULUB dans la récupération des huiles lubrifiantes usagées que nous collectons à travers les quelques 1700 stations-services dont nous disposons sur l'ensemble du territoire tunisien.

Les huiles de base produites par la SOTULUB selon les standards internationaux après régénération des huiles usagées sont de très bonne qualité. Elles nous permettent de produire des huiles sous notre propre brand. Nous apprécions de même la qualité des graisses lubrifiantes de la SOTULUB que nous achetons en vrac pour être conditionnées par nos soins dans nos usines.

Nos rapports commerciaux avec la SOTULUB dont nos partageons entièrement l'esprit innovateur et l'engagement environnemental sont exemplaires. Ils iront, nous en sommes convaincus, en se renforçant".

La SOTULUB est présente dans tous nos kiosques de distribution

"La Société Nationale de distribution du Pétrole (SNDP)-AGIL est un partenaire privilégié de la SOTULUB. Son PDG, M Nabil Smida s'exprime sur la nature de ce partenariat ainsi que sur la qualité du produit de l'entreprise:

Nous apprécions beaucoup le rôle très important que joue la SOTULUB ,entreprise pionnière, au double plan de la protection de l'environnement et de l'approvisionnement du marché en huiles lubrifiantes régénérées d'excellente qualité. La SOTULUB est présente dans toutes nos stations de distribution de carburants en Tunisie à travers ses cuves de stockage, et ses livraisons d’huiles lubrifiantes, mais aussi grâce à un travail assidu et combien fructueux mené en commun pour la collecte des huiles usagées.

Nous devons saluer le personnel de la Société dans toutes ses composantes pour la qualité des huiles régénérées au sein de l'usine de Zarzouna , fruit d'un savoir-faire qui ne s'est jamais démenti grâce notamment au Système de management intégré, dûment audité par un organisme international de certification, conformément à des exigences et à des normes universellement admises.

L'attachement constant de la SOTULUB à la promotion de ses activités et à l’amélioration de son produit est de nature à rehausser son image de marque et à favoriser les conditions de sa pérennité".

De son côté, Hazem Yahiaoui, Directeur général des hydrocarbures au sein de la SNDP- AGil livre ce témoignage :

"Je n’insiste jamais assez sur le rôle avant-gardiste de la SOTULUB dans deux secteurs clefs : l’économie et l'environnement. Elle s'en acquitte pleinement et c'est tout à son honneur. Elle assure 30% de la consommation des huiles et 90% des graisses lubrifiantes.

C'est précisément cette double exigence de lutte contre la pollution et d'adaptation aux conditions du marché en termes de qualité et de coûts qui a conduit la SOTULUB à utiliser une technologie de régénération des huiles lubrifiantes usagées inventée et mise en place depuis les années 90 par ses propres compétences, et qui lui a valu l'obtention d'un brevet à l'échelle internationale qui constitue à n'en point douter un atout majeur dans la politique de partenariat et de coopération en Tunisie et à l'étranger".

La SOTULUB est parvenue à améliorer sensiblement les indicateurs de collecte des huiles usagées

L’Agence Nationale de Gestion des Déchets (ANGED) intervient, en tant que partenaire de la SOTULUB, dans la surveillance de la gestion des huiles usagées. De ce fait, elle est à même de juger objectivement le rôle de cette entreprise en matière de protection de l'environnement et le degré de conformité de son système aux normes propres à la gestion des déchets. Voici ce qu'en pense son PDG M. Badreddine Lasmar:

L'ANGED ne peut que se féliciter des liens de partenariat qu'elle entretient de longue date avec la SOTULUB, et reste déterminée à œuvrer pour leur renforcement.

C'est grâce à cet esprit de coopération que l'ANGED et la SOTULUB ont tant contribué ensemble à la mise en œuvre d'une manière efficiente et planifiée du système de reprise et de régénération des huiles lubrifiantes usagées « Éco-Zit », et que la SOTULUB, entreprise pionnière et avant-gardiste dans le secteur du traitement des huiles lubrifiantes usagées, est parvenue à améliorer sensiblement les indicateurs de collecte de ces huiles, dont la quantité à atteint en 2018 quelque 15 mille tonnes environ . La quantité des huiles régénérées, toutes qualités confondues, vendue sur le marché durant la même année, s'est élevée à presque 9.500 tonnes.

Ces résultats ont permis non seulement d'assurer à un degré élevé la préservation de l'environnement et d’éviter les rejets dans la nature de polluants très dangereux, mais aussi de subvenir dans une proportion conséquente aux besoins du marché en huiles lubrifiantes de base de haute qualité, participant ainsi à une réduction dans la même proportion, soit 30%, des importations de ces produits. Ils sont aussi le fruit de plusieurs accords et conventions spécifiques conclus depuis la mise en œuvre du système Éco-Zit en 2002.

L'ANGED et la SOTULUB sont déterminées à redoubler d'effort et à œuvrer en commun pour le développement et la consolidation de ce système avec ses deux volets indissociables : économie et environnement.

Enormes potentialités de développement et d’extension de la SOTULUB

Directeur général de l'environnement et de la qualité de la vie au ministère des affaires locales et de l'environnement, M Hedi Chebili était en 1996 chef de projet au ministère des de l’environnement, et à ce titre il avait accompagné quelques projets innovants de la Société Tunisienne de Lubrifiants. Voilà comment il juge le bilan de la SOTULUB et entrevoit son avenir :

« Mon expérience avec la SOTULUB date de 1996, date de démarrage d'un projet pilote pour la collecte des déchets huileux piloté par le ministère de l'environnement , et financé par le Luxembourg, qui comportait quatre composantes:

**l'amélioration des conditions de collecte des déchets au niveau des garages

**ouverture et équipement d'un entrepôt pour huiles usagées à la Charguia

*mise en place d'un système de gestion des filtres à huiles usagées

*sensibilisation et promotion de l'esthétique urbaine.

Pas moins de 200 garages, choisis dans le Grand Tunis, ont été convenablement aménagés et transformés en points de collecte d'huiles de vidange et de filtres à huile répondant à toutes les conditions d'hygiène , de salubrité et de préservation de l'environnement.

Le projet a consisté aussi en l'aménagement urbain d'une zone située entre Akouda et Hammam-Sousse (gouvernorat de Sousse) où furent aménagés dans le pourtour de l'axe routier GP1 des carrefours à sens giratoire qui n'étaient pas à l'origine connus des conducteurs tunisiens. Le premier giratoire a été installé en 1998 à Sousse en face de la maison des jeunes.

La SOTULUB s'est engagée à l'époque dans un processus de modernisation de son réseau d'entrepôts pour le stockage provisoire des huiles usagées collectées , en ouvrant un entrepôt modèle pour les lubrifiants usagés à la Charguia , non loin de l'aéroport de Tunis-Carthage servant de point d'attache doté d'équipements ultra modernes pour les entreprises de collecte dans les quatre gouvernorats du Grand Tunis. L'ancien entrepôt situé à Sidi Thabet était loin de répondre aux normes admises . Le projet a nécessité des investissements de l'ordre de 5 millions de dollars.

En plus des huiles lubrifiantes usagées, on collectait les filtres à huile usagés dont on extrayait des matières entièrement valorisables avec zéro déchet. Des huiles très polluantes, rejetées en quantités dans les décharges, dans la nature, avant d'être récupérées de n'importe quelle manière pour être utilisées comme combustible par les briquetiers, des tenanciers de hammams (bains maures) .., sont désormais collectées , recyclées et valorisées par une structure nationale. Ceci contribue à la fois à dépolluer notre pays , nos terres, nos rivages, nos écosystèmes; à assainir l'environnement, et à fournir un lubrifiant de qualité.

La SOTULUB, qui recèle de hautes compétences, contribue ainsi à la dynamisation des mécanismes d’intégration de la dimension environnementale dans les activités de dépollution, au renforcement des bases de la décentralisation de l’action environnementale, à l’amélioration de la qualité de vie à travers l’assainissement et la gestion de déchets dangereux. Ce faisant, la SOTULUB s'érige en entreprise protectrice de l'environnement et assume une responsabilité sociétale en s'appuyant sur des indicateurs crédibles et transparents. Elle répond en fait aux demandes de la société civile d'une meilleure prise en compte des impacts de ses activités intégrant les dimensions environnementale , sociale et économique .

Grâce à son brevet d'invention pour son procédé de fabrication d'huiles lubrifiantes de base , la SOTULUB acquiert une renommée internationale. Qu’en est- il de l’ouverture du secteur de traitement des huiles lubrifiantes usagées a la concurrence ? Que peut faire la SOTULUB pour garder sa place de leader national dans le secteur ?

On remarque depuis quelques années l'émergence de nouveaux intervenants qui cherchent à s'implanter ici et là dans ce secteur de régénération des huiles usagées. Nous, en tant que ministère en charge de l'environnement, il ne nous est pas permis de les empêcher de lancer et de développer leurs activités . Nous sommes dans une obligation de donner leurs chances à tous les promoteurs qui se présentent. Le principe "que le meilleur gagne" reste parfaitement valable dans ce cas d'espèce. À eux de jouer le jeu.

Il y a toutefois une grande différence entre une petite unité sans expérience, sans gros moyens financiers, et une Société nationale de l'importance, de l'envergure et de l'expérience de la SOTULUB qui s’est installée déjà depuis de nombreuses années. Notre obligation consiste à empêcher toute concurrence illégale , à donner la même chance à tous , et à veiller à ce que chacun fasse convenablement son travail . Nous avons une mission de contrôle à assumer au niveau des activités de toutes les entreprises intervenant dans le secteur sans aucune distinction. Les contrôleurs de l'Agence Nationale de Protection de l'Environnement interviennent à ce niveau dans tous les gouvernorats. Il est vrai que la SOTULUB est confrontée depuis quelques années à quelques difficultés dont elle finira, nous en sommes persuadés, d'avoir raison.

La SOTULUB dispose d'atouts humains et matériels non négligeables pour continuer à jouer pleinement son rôle au double plan national et international, et améliorer ses performances à tous les niveaux.

S’agissant de la coopération dans le secteurs de régénération des huiles usagées avec des partenaires de pays voisins ou étrangers, nous souhaitons tant développer cette coopération avec des pays voisins . Nous avons engagé en 2016 des pourparlers à ce sujet avec l’Algérie . La question s'est posée alors de savoir dans quelle mesure il serait possible de développer des relations de coopération entre la SOTULUB et des partenaires algériens, et de promouvoir un échange de prestation de services, soit que la SOTULUB participe directement à la réalisation de projets en Algérie, soit qu'elle entreprenne des activités de sous-traitance , ou qu'elle récupère les huiles usagées sur place pour les traiter en Tunisie . Les deux parties partagent à ce niveau une réelle volonté de collaboration qui reste à matérialiser, compte tenu des énormes potentialités dont elles disposent . Les pourparlers à ce sujet doivent se poursuivre...

Une telle coopération peut parfaitement s'ouvrir à d'autres pays voisins . La SOTULUB peut très bien y jouer un rôle catalyseur en proposant de multiples services , comme elle peut s'engager dans d'autres activités de coopération dans le même domaine.

La SOTULUB a intérêt à développer et à intensifier ses activités et ses services sur tout le territoire . Ses potentialités de développement et d'extension sont énormes. C'est à ses cadres, à sa direction, à tous ses employés de jouer le jeu jusqu'au bout .

On peut parler aujourd'hui d'une success story de cette entreprise, avec ses grandes réalisations et ses belles réussites ».

Un savoir-faire qui se transmet sans difficulté

"Malgré tous les défis, la SOTULUB continue à évoluer . Sa situation financière est saine. Les conditions de sa pérennité sont assurées. Elle est peut être confrontée à certaines difficultés d'ordre stratégique en rapport avec la concurrence . On peut même parler d'un passage lié essentiellement au contexte tunisien : la Tunisie post révolution a choisi de s'orienter vers une politique de libéralisation et une économie de marché...

La SOTULUB se doit , pour préserver sa part de marché, d'adopter une vision stratégique - pour ce qui concerne les activités de collecte en particulier - adaptée à la nature du marché qui évolue rapidement, et fondée notamment sur l'innovation ...

La relève s'opère au sein de l'entreprise dans de bonnes conditions . Le savoir faire propre à la SOTULUB se transmet sans difficultés particulières", relève M Rachid Zouaghi.

Une réalisation pionnière et visionnaire

Pour M Adnane Belhaj Amor, "la SOTULUB est le fruit d'une vision , le produit d'une anticipation de ce qui apparaissait dans son temps imprévisible à la majorité des gens. En 1979, année de création de la Société, l'environnement n'était pas à l'ordre du jour dans nos politiques . Il suscitait très peu d'intérêt en Tunisie , comme d'ailleurs dans la plupart des pays développés . Rien dans les pratiques et les discours ne marquait à l'époque un véritable souci de préserver l'environnement..."

Il ajoute : "je n'insiste jamais assez sur le fait que la SOTULUB est une réalisation pionnière et visionnaire, œuvre de promoteurs qui ont été les premiers à l’avoir appréhendée avec une certaine logique à la fois technique , écologique et économique . Elle a ensuite pris son envol dans le cadre du système public Éco-Zit qui comporte nombre de conditions et de modalités de reprise des huiles lubrifiantes et des filtres à huile usagés et de leur gestion. Les Sociétés de distribution de produits pétroliers comme la SNDP qui est une entreprise publique , et d'autres entreprises, étrangères notamment, comme Shell, Esso , Oil Libya etc. sont tenues de s'approvisionner en huiles de la SOTULUB qu'elles utilisent pour la fabrication de leurs huiles lubrifiantes…C'est donc une œuvre fabuleuse..."

Conserver sa place de leader

"J'ai rejoint la SOTULUB en tant que PDG en avril 2005; je l'ai quittée au mois d’août 2008. De par mes fonctions de chef de cabinet du ministre de l'industrie, j’étais en contact avec les entreprises sous tutelle, y compris la SOTULUB, une société qui n'était pas très connue à l'époque, malgré la place de choix qu'elle occupait déjà dans l’économie du pays. C'est une entreprise multidimensionnelle qui tient à la fois de l'industriel, avec la fabrication des huiles lubrifiantes usagées; de l'environnement avec tout le système public de régénération des huiles lubrifiante usagées, dit Eco Zit ; et aussi du social, à travers une participation active à des œuvre de promotion sociale (entretien d'établissements scolaires, soutien à des associations sportives et des clubs de sport et d’éducation physique, encouragement à la lecture etc..). Une bonne part du budget de l'entreprise va à ces activités sociales...

Côté environnemental, on peut dire que la SOTULUB constitue en elle même une filière à part. Elle a joué un rôle d'avant-garde dans la protection de l’environnement à une époque où il n'y avait pas de ministère de l'environnement , et bien avant la mise en place de la filière Éco Zit avec toutes les structures affiliées ( ANGED , ANPE etc.). À l'époque (1979-80), le méga ministère de l'économie nationale gérait les secteurs de l'industrie, du pétrole, du tourisme... La SOTULUB joue un rôle prépondérant au niveau de la sauvegarde de l'environnement qui n'est pas bien perçu par les Tunisiens, et aussi à l'échelle de l’économie nationale. Un grand effort à été consenti en vue de doter cette entreprise à participation publique de moyens humains et matériels conséquents. Elle est présente dans toutes les grandes régions du pays à travers ses centres de collecte et de stockage des huiles lubrifiantes usagées...

Elle continue à entreprendre une action vigoureuse en vue de consolider ces centres de collecte gérés par des sous-traitants agréés, de réduire les coûts de la collecte par l'optimisation des circuits ...

Grâce à son expérience acquise ,au fil des quarante dernières années, à ses ingénieurs, ses techniciens supérieurs, tout son personnel de gestion, la SOTULUB est capable d'assurer elle-même les conditions de sa pérennité . Le climat social sain au sein de l'entreprise s'y prête parfaitement. Le personnel, toutes catégories et générations confondues, est aujourd’hui conscient de l'importance de l'enjeu : rester fidèle à sa vocation principale en tant que principal opérateur pour le compte de l'environnement, valoriser les acquis, et aller de l’avant en apportant les améliorations nécessaires, notamment au niveau de la collecte et des procédés et méthodes de fabrication. La SOTULUB compte parmi de rares entreprises en Tunisie, à l'instar du Groupe Chimique et d'autres encore, possédant un brevet d'invention (1986-87). Les entreprises intervenant dans la régénération des huiles usagées de par le monde et ayant un brevet d'invention n’étaient pas nombreuses, du moins jusque dans les années 2005 -2006 .

Toutes les entreprises du secteur pétrolier en Tunisie , sociétés de distribution et autres, achètent à la SOTULUB. La qualité des huiles régénérées SOTULUB répond parfaitement aux normes et aux standards internationaux des huiles lubrifiantes...

Je suis persuadé que la SOTULUB qui reste un précieux acquis à sauvegarder a les moyens de conserver son statut de leader dans le secteur de la régénération des huiles lubrifiantes usagées." estime M Ahmed Souibgui.

La qualité gage de pérennité

"Quand j'ai pris mes fonctions à la tête de la SOTULUB en 2002, la tonne d'huile lubrifiante générée de base était vendue à 800 dinars, contre 2.100 dinars aujourd’hui . Les sociétés pétrolières , au nombre de quatre ou de cinq, constituaient le gros de la clientèle. Autant dire à fonds perdus. Je dus sans attendre faire de laborieuses démarches auprès de l'autorité de tutelle - ministères de l'industrie et de l'environnement - afin de pousser à une révision à la hausse du prix de vente. La SOTULUB détenait un quasi monopole . L'exiguïté du marché handicapait beaucoup l'action de l'entreprise et constituait un facteur de risque et de vulnérabilité , une situation qui perdure depuis . Certes , la SOTULUB en tant que PME à participation publique, est petite de par sa taille; mais elle est grande de par l'importance de la mission , environnementale économique et sociale dont elle s'acquitte avec brio", précise M Ali Labiadh.

La SOTULUB a tous les atouts pour gagner la bataille de la compétitivité

"Ma première priorité, en tant que PDG de la SOTULUB, consistait à maintenir une cadence croissante de la collecte des huiles usagées. j’avais à cœur dans le même temps de veiller à la protection du nouveau procédé de régénération des huiles lubrifiantes usagées, breveté au niveau international, et à son exploitation à bon escient. Mis en exploitation dans les années 1990 par des compétences entièrement tunisiennes, Il se distingue notamment par une réduction des coûts d'investissement et des charges d'exploitation. Il constitue depuis un atout majeur dans la politique de partenariat et de coopération en Tunisie et à l'étranger...", indique M Mohamed Ben Abdallah

Il rappelle que la SOTULUB a été choisie à l'époque parmi les 100 premières entreprises tunisiennes ayant adhéré au programme national de mise à niveau, soulignant que cette entreprise dispose d'outils et de moyens humains et matériels , et possède de précieux atouts dont un cumul de savoir-faire non négligeable, ce qui lui permet de relever le défi de la concurrence et de gagner, partant, la bataille de la compétitivité.